La co-franc-maçonnerie ajoute deux atouts saillants à ceux partagés par toute la franc-maçonnerie. Premièrement, il est international, reliant des personnes de différentes cultures dans la tâche commune de construire le temple spirituel de l’unité humaine. Deuxièmement, il restaure tous les privilèges maçonniques aux femmes et constitue ainsi un pas important vers la restauration de la splendeur spirituelle des anciens Mystères, dans lesquels la participation des hommes et des femmes était un facteur essentiel.
 
Le terme « Co-Franc-Maçonnerie » ou « Co-Maçonnerie » a été adopté pour distinguer l'Ordre des groupes exclusivement masculins ou féminins et pour indiquer que les hommes et les femmes sont admis comme membres sur un pied d'égalité. Ces forces d’universalité et d’égalité sont des éléments essentiels à tout travail maçonnique.
 
Le terme « Orient » dans « L'Ordre oriental de la co-franc-maçonnerie internationale » fait référence à l'Est symbolique, le lieu de la Lumière montante, plutôt qu'à une direction géographique. De même, notre devise est « Ex Oriente Lux », Lumière de l'Est.
 
La participation des femmes au travail franc-maçonnique n’est pas une innovation ; il s'agit simplement de la restauration d'un monument ancien ou essentiel de la franc-maçonnerie. Dans les Mystères d’Égypte et de Grèce, les femmes et les hommes travaillaient ensemble sur un pied d’égalité. Ce n'est qu'au cours de siècles relativement récents que les femmes ont été exclues des mystères et des privilèges des rites anciens ressuscités dans les temps modernes sous le nom de franc-maçonnerie.